Tel est le titre de la chronique que François Weill publie aujourd'hui sur Tourmag. Evidemment, je l'ai lue avec beaucoup d'intérêt et même une certaine émotion. Je vous en recommande la lecture aussi chaudement que peuvent être les lumières et couleurs du soleil de minuit.
Un extrait : « Jadis, en été, bien des passagers ne prenaient pas de cabine et
dormaient à l'extérieur sur les ponts. Il faut dire que le soleil de
minuit, on voudrait, c'est d'ailleurs logique, en profiter 24 heures sur
24. Surtout après les longs mois d'hiver.
Alors lorsque j'apprends, au fil d'un communiqué, que Hurtigruten a décidé cet été de proposer aux passagers qui le désirent de passer une nuit ou une partie de la nuit, sous le soleil de minuit, sur les ponts extérieurs, en leur prêtant des sacs de couchage, eh bien je trouve ça formidable.
C'est revenir aux vraies valeurs de l'Express Côtier, et nul doute que les passagers les plus motivés vont se jeter sur cette proposition. »
Alors lorsque j'apprends, au fil d'un communiqué, que Hurtigruten a décidé cet été de proposer aux passagers qui le désirent de passer une nuit ou une partie de la nuit, sous le soleil de minuit, sur les ponts extérieurs, en leur prêtant des sacs de couchage, eh bien je trouve ça formidable.
C'est revenir aux vraies valeurs de l'Express Côtier, et nul doute que les passagers les plus motivés vont se jeter sur cette proposition. »
le 26 mai dernier à 2H08 entre les Lofoten et Bodø (1 800 px de large) |
Je n'ai embarqué à bord d'un express côtier qu'en 1999 pour la première fois et je regrette un peu, beaucoup même, de ne pas l'avoir fait plus tôt.
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