mise à jour du 10 mars : dislocation de la banquise dans la Baie de Disko encore plus évidente si on compare la photo du 10 mars à celle du 5 mars (changez de date dans le calendrier). NB, apparemment, les archives ne comportent que les 7 derniers jours
post original du 8 mars : Ce matin, comme 1 à 2 fois par semaine, je suis passé voir la photo satellite au-dessus de la baie de Disko au Groenland ouest. Jusqu'à ces derniers jours, dans la baie d'Uummannaq, la banquise était compacte, sans fracture mais sur la photo du 7 mars, la couverture de glace n'est vraiment plus uniforme et commence à se disloquer :
post original du 8 mars : Ce matin, comme 1 à 2 fois par semaine, je suis passé voir la photo satellite au-dessus de la baie de Disko au Groenland ouest. Jusqu'à ces derniers jours, dans la baie d'Uummannaq, la banquise était compacte, sans fracture mais sur la photo du 7 mars, la couverture de glace n'est vraiment plus uniforme et commence à se disloquer :
Le Groenland tire son nom de "green land" qui lui fut donné lors de sa découverte par Eric Le rouge au IX eme siècle, car c'était une terre verte et libre de toute forme de glace. Alors ne succombez pas aux peurs panique qu'on nous met dans le crâne! Demain sera beau si nous y croyons, simplement!
RépondreSupprimerBonjour Anonyme. Où avez-vous vu une peur panique dans mon post ? Je m'intéresse à cette région et j'ai simplement partagé ces images satellites qui apparemment ont intéressé quelques personnes...
SupprimerEuh... pour "jouer au spécialiste", ne serait-ce pas plutôt Gunnbjörn Ulfsson et Snælbjørn Galti qui découvrirent cette île ? Certes, ils sont moins connus qu'Eiríkr Rauði. Si avant le petit âge glaciaire, les côtes de l'île étaient bien vertes, la calotte glaciaire existait bien dès qu'on s'éloignait des côtes.
Bonjour Paul, loin de moi l'idée de vous prêter des intentions, ni l'envie de jouer les savants. D'ailleurs en l'occurrence, quelle importance qui a découvert le Groenland? J'ai pris connaissance de votre post par une personne que cela avait affolé... Parfois nous sommes dépassés par nos objectifs.Je pense que nos certitudes précipitent les évènements, et que c'est pour cette raison que les médias nous abrutissent de peurs de tous ordres. Ma réponse ne stigmatisait pas votre article, mais mettait en garde sur le réflexe conditionné qui consiste à craindre, tout en donnant ainsi du pouvoir à l'objet de nos craintes. Demain aura le visage que nous lui donnerons, même s'il fait froid.
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